Dream(r) : Le pilote de la honte

Les fêtes de fin d'années approchant à grands pas, je me sens tout guilleret et empli de l'esprit de noël. Du coup, aujourd'hui, je vous propose ma participation au concours Jeunes talents organisé par Esprit BD et le Festival d'Angoulême.
Comme vous devez vous en douter, elle n'a pas été bien loin et mon nom ne figure pas parmi ceux des 20 sélectionnés (sinon, croyez bien que je vous aurais cassé les pieds avec des manifestations exagérées de joie haha !).
Je ne suis toutefois pas désappointé par ce verdict, sachant que les planches que je vous propose ci-dessous ont été réalisées 48 heures avant la date limite d'envoi des participations et surtout sachant que les autres participants ont envoyé comme boulets de canon !
Allez, je vous laisse à votre lecture, vous pourrez retrouver ma plume bavarde plus bas si ça vous intéresse. A toute.


Voilà, c'est ce machin honteux que j'ai envoyé à ce distingué concours...j'en suis pas très fier mais bon, lorsque je me retrouve face à un défi où je suis sûr de me ramasser, c'est plus fort que moi, je fonce (j'ai dû trop lire de shonens durant mon enfance).
Pour la petite histoire, m'étant décidé 48 heures avant l'échéance, j'ai décidé d'utiliser l'intro du synopsis d'un de mes projets de Web-Comic et d'en faire un One Shot, d'où ce résultat carrément bancal !
La bonne nouvelle dans tout ça, c'est qu'il se pourrait que vous voyiez débarquer le web-comic dans sa version complète non dénaturée en ces lieux en 2014. Alors, heureux ?

Commentaires

  1. Je vois que tu as mis sur "papier" le synopsis que tu nous avais lu, il y a un petit moment, à notre asso de scénario "Ghost in the script".
    Mon avis la dessus :
    -L'idée est originale. ça commence bien, on est pris d'empathie pour ton personnage qui a appris un truc démentiel, mais que personne ne crois. Par contre, les choses commencent à se gâter quand on rentre dans ton entreprise du rêve. Au moment où ton petit employé doit se justifier, il nous assomme avec un monologue très long, difficile à digérer pour le lecteur. En plus, le fait que tu adores mettre des expressions peu communes comme "capillotractée" ou d'autres qui sont marrantes, mais qui sont extra longues comme je cite : "Son travail est comme une fille facile de camping, circulant entre plusieurs mains mais dont personne ne se soucie vraiment et qu'on tâche d'oublier très vite". Tu peux utiliser ce genre d'expression une fois, mais pas autant à la suite ! J'avoue que "la scène de justification", je l'ai sauté directe. Trop lourd. ça tues le rythme du récit. Tu parles tellement que même quand on lit ton pavé de discussion, on a du mal à voir où tu veux en venir ! Soit plus simple ! Quand Je suis tombé moi aussi dans ce piège, pour le contourné, on m'a répondu : "Arrête le blabla, montre nous ce que tu veux dire par de l'action ! ". Ce mec ne représente pas un danger pour cette entreprise ? Fait une scène où on montre justement qu'il n'est pas dangereux par ta société des rêves mais peu quand même leur être utile

    -On te reconnait tout de suite dans cette histoire : Le physique du personnage, sa position de dessinateur... Lorsque tu écris un récit, fais attention de ne pas être aveuglé par ton expérience personnelle. ça peut te faire faire des erreurs (Je sais de quoi je parle, j'ai fait la même chose avec mon protagoniste de mon récit "Doppelgänger", celui qui parle d'une boite blanche qui s'adapte au pensées de ce dernier)

    En tout cas, ton trait de dessin est toujours aussi agréable à regarder. Bon courage !
    ELLIOTT BIEHLER

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